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Les recherches de GAEL portent principalement sur les questions d'innovation et de consommation durables, en particulier dans les secteurs énergétiques et agro-industriels. Les méthodologies clefs du laboratoire sont la modélisation micro-économique (économie industrielle, économie comportementale), l'économie expérimentale, l'économétrie, la modélisation appliquée à certains secteurs comme l'énergie et l'analyse qualitative basées sur des études de cas.
Les recherches sont organisées en trois axes :
- Consommation : en s’appuyant en particulier sur l’analyse expérimentale, l’objectif est d’analyser les déterminants des comportements de consommation et la capacité de différentes politiques publiques à modifier ces comportements.
- Energie : l’objectif est ici de comprendre et modéliser les équilibres économiques dans les secteurs et marchés énergétiques, comprendre les évolutions institutionnelles à l’échelle internationale et évaluer l’impact des politiques dans le domaine de l’énergie et du climat afin de répondre aux enjeux de développement durable.
- Innovation : les recherches visent d’une part à comprendre et modéliser les stratégies des acteurs dans différentes industries innovantes, et d’autre part à analyser et évaluer l’impact des différentes politiques d’innovation à des échelles régionales, nationales et européennes.
L’unité GAEL a été créée en 2003 sur la base d’un regroupement entre un laboratoire de recherche INRA et une équipe d’économie expérimentale de l’université. En 2016, l’équipe de recherche EDDEN (CNRS-Université) est venue rejoindre le laboratoire, conduisant à élargir ses recherches vers l’économie de l’énergie. Grenoble INP, qui a été associé de longue date avec ces équipes de recherche, devient tutelle du laboratoire à partir de 2016 au même titre que le CNRS, l’INRA et l’UGA. GAEL rassemble 39 chercheurs et enseignants-chercheurs, 19 doctorants et post-doctorants et 13 ingénieurs et personnels d'appui.
Les recherches de GAEL sont financées pour l’essentiel par la région Auvergne Rhône-Alpes, l’Agence nationale de la recherche et l’Union européenne. Une part importante de ces recherches est pluridisciplinaire et conduite avec des chercheurs en sciences de l'ingénieur (systèmes électriques, matériaux...), des nutritionnistes, des agronomes, des généticiens et des écologues.
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